« Hey there NICK - FINISH !

Invité

HEY THERE NICK. *
« Hey there NICK - FINISH ! Sox2sg

La pluie battait depuis déjà une bonne heure quand il décida d'ouvrir la fenêtre pour profiter pleinement de l'odeur d'humidité qui flottait dans l'air. Sans attendre, quelques gouttelettes d'eau arrivèrent dans la pièce, mouillant le parquet fraichement ciré. Mais le jeune homme s'en souciait bien peu, son unique préoccupation était entre ses mains : c'était un petit carnet brun relié de cuir aux pages neuves. Très sobre d'apparence, le contenu n'en était pas moins intéressant et cela faisait déjà deux bonnes heures que le beau brun écrivait à vive allure, comme alimenter par une source inépuisable et soudaine d'inspiration. Adossé à un des quatre murs de sa chambre, il écrivait sans relâche, sa guitare fétiche posée à ses côtés. Une sorte de journal de bord, comme il s'amusait si bien à dire. Mais en réalité, on parlerait plutôt de journal intime. Mais je vous laisse constater de vous-même, je vous ouvre les pages du journal de Phoenix « Nick » Carrigan. Mais non, ce n'est pas indiscret ! C'est juste un petit coup d'œil, rien de plus. Je suis certaine qu'il ne vous en voudrait pas de grappiller quelques mots de son intimité quelques heures avant son départ. Vous n'êtes pas du même avis ? Tant pis, il est désormais trop tard pour reculer.

« JOURNAL DE NICK CARRIGAN - privé! »

Rien que le titre est évocateur ; tracées de son écriture de maniaque, les lettres étaient toutes lisses et la page propre, contrairement aux garçons qui se soucient peu de faire des énormes pâtés d'encre sur leur feuille. Le jeune homme avait un geste souple, préçis et naturel qui donnait une belle écriture, lisible et nette. Ce n'était pas non plus cette écriture de fillette, avec de grosses bulles prêtes à éclater sur les i, non non. C'était l'écriture de Nick, celle aux traits rapides mais élégants et dont on déchiffrait les lettres plutôt simplement. Bref, on ne va pas se limiter sur le titre du journal hein ?

« Petite précision à l'attention de mes parents ou même de mes frères : un journal est un cahier généralement privé, comme celui-ci et d'ailleurs, c'est indiqué en rouge. Privé signifie très exactement dans cette situation : lecture interdite par une autre personne que le détenteur de ce dit journal. Donc, enlève tes sales pattes de là ! »

Étant donné que je ne fais pas partie de la famille de ce cher Carrigan - vous non plus je suppose - je vais poursuivre ma lecture, si vous n'y voyez pas d'inconvénient.

« THE BEGINNING »

Il y a un début à tout. Il y a donc un début à moi, plus exactement Nick Joseph Carrigan - oui, je sais que je m'appelle Phoenix mais plutôt mourir que de devoir supporter une tel horreur en guise de prénom ! Un début qui commence dans une campagne d'Amérique du Nord, campagne digne de la cambrousse africaine, digne de la nature sauvage ! J'exagère peut-être un peu mais bon, il faut dire que l'hôpital le plus sur n'est pas tout prêt non plus. En effet, la famille Carrigan a toujours vécu à l'égard dans ce trou paumé alors qu'on pourrait s'offrir un superbe appartement à New York avec vue sur Central Park. Parfaitement ! Mes parents ont réussi dans le monde de l'assurance - et sans rouler personne en plus ! - et on peut dire qu'on vit plutôt confortablement. Malgré notre situation géographique peu avantageuse, notre maison a toujours été très grande, bien décorée et chaleureuse. Vivre à New York, comme cité précédemment, ne me dirait vraiment rien et vivre à la campagne n'est pas si mal en fin de compte. Je vais tout de même dire pourquoi mes parents ont choisit de vivre ici : tout simplement car ce sont des gens modestes qui sont tout sauf du genre à exposer leur richesse et patati et patata, contrairement aux gros friqués de Beverly Hills. Vivre, vivre, vivre. Cela fait un petit moment que je répète ce mot hein ? De toute façon, j'aime la vie, autant que vous le sachiez. Je vis pour m'amuser, découvrir, apprendre, rire, aimer, apprécier, être surpris, hésiter, foncer, pleurer, m'accrocher ; je vis pour vivre. Je vis ainsi depuis le 8 Août 1989 et j'aime cette vie. J'aime rêvasser, j'aime jouer de la guitare et chanter, j'aime écrire, j'aime dire des stupides, j'aime être stupide, j'aime l'odeur de la pluie, j'aime chevaucher l'impétueux Wild Rock à travers l'herbe sèche et les chemins tortueux tout autant que j'aime le monter dans le manège en entendant les grosses gouttes de pluie qui finissent leur chemin sur le toit. En parlant de monture, et bien oui j'adore les chevaux. Je suis un mordu d'équitation tout autant que de musique. Souvent, je rends visite à Rockie qui est un confident et ami, souvent je compose et je gratte un coup avec mes amis ou même mes frères - les deux abrutis qui m'ont précédé mais je les aime quand même, bien que je suis sûr qu'ils ne reposeront pas ce journal PRIVÉ avant de l'avoir lu en son intégralité. D'ailleurs, je stoppe ici ce petit prologue car ce n'est pas la peine de me raconter dans les pages de mon journal que je suis brun, frisé, que je suis grand, et blabla blabla. Il suffit de passer devant un miroir pour constater ces choses là. Mais les apparences sont les apparences ; je mentirais en disant que je me fous complètement de la tête que j'ai et que je suis négligé - étant donné que je suis le contraire - mais je sais où sont les vraies valeurs. Point, happy ending.

Désormais, vous connaissez mieux ce spécimen qu'est le petit dernier de la famille Carrigan ; un type de dix-huit ans sympathique, ouvert, avec un certain humour, modeste, déluré, sociable, maladroit mais habile de ses mains, musicien et cavalier... Vous avez même droit à quelques unes de ses caractéristiques physiques. Vous croyez tout savoir mais la personne de Nick recèle d'une infinité de découvertes. Vous avez juste, en gros, le personnage qu'il est. Vous ne pouvez même pas dire où il s'apprête à partir. Avant de continuer, je vous préviens : je vais sauter quelques pages, ce serait inutile de lire en détail les longs chapitres concoctés par son imagination, ses partitions, les paroles qu'il a noté, ses journées de monte, ou même le récit de son enfance qu'il s'est amusé à retracer avec l'aide de vieilles photos et anecdotes de sa famille. Pour résumer ce que je vais sauter, Nick a eut une enfance agréable au sein de cette même campagne américaine qui est sa contrée natale pour ainsi dire. Il était un enfant précoce qui a vite appris les bases du langage et de la marche et était très éveillé dès son entrée en maternelle ; sa primaire s'est également bien passé et c'est là qu'il a commencé à prendre des cours d'équitation, tout comme ses grands frères. Trois après le début de ses leçons, les parents Carrigan offrirent à leurs enfant un poulain qui devint vite un étalon. Entre temps, Nick rentra au collège avec d'excellentes notes et son galop trois. Il était plutôt populaire, même si les bourges de l'institut où il était scolarisé le snobait à cause du fait qu'il venait de la rase campagne. Mais il s'en fichait bien ! Il était avec sa petite bande d'amis et c'était le principal. En arrivant au lycée, le jeune homme en était au galop cinq ; après, le groupe Popular Corney se forma, Nick en tant que guitariste, ses frères avec lui et et deux autres amis. Ils remportèrent un franc succès ; très vite, le jeune Carrigan réussit à partager ses deux passions sans en désavantager une vis-à-vis de l'autre. Et désormais, il est là, en train d'écrire en se faisant asperger de gouttes de pluie qui filtraient par la fenêtre ouverte. Il écrit avant son départ. J'ai loupé toutes les anecdotes intéressantes de sa vie pour aboutir ici, à cette page.

« GOOD BYE MY HOME »

Ca y est. Je m'en vais en laissant une trace de mon passage, l'empreinte de mon souvenir. Encore une fois, j'exagère ; on dirait que je pars à la mort mais non. Je reviendrais, jamais je ne laisserais mon Rockie ! Mais en attendant, les abrutis qui me servent de frères ont promis de s'occuper de lui. Pourvu qu'ils ne faillent pas à leur tâche ! Et voilà, Maman et Papa ont décidé de m'envoyer loin de la maison pour m'améliorer en équitation. Très bien, comme ils veulent ! J'ai mon galop sept désormais, genre. Je ne suis plus un gamin. Et avec leurs arguments à la noix là. Enfin, je râle car ils m'ont un peu poussé mais c'est une occasion rêvée ! Progresser dans un autre environnement que celui auquel je suis habitué, quoi de mieux ? Un peu de piquant dans ma vie monotone non ? Enfin, monotone ! Elle était loin de l'être mais ce départ, c'est clair que ça change. Le problème, c'est le groupe quoi ! Môôôsieur et Mâââdame mes Parents n'appréciaient pas trop que je sois si peu présent à cause de mes répét' je paris que c'est à cause de ça qu'ils m'envoient là-bas. Le pire, c'est que mes notes n'ont pas baissé ! Franchement, je les comprendrais jamais. Mais bon, je les aime quand même - on va dire. C'est pas comme si il n'y avait que du mauvais. J'ai toujours ma guitare, je suis toujours là. Toujours moi. Ce 'moi' particulier, habité par un soupçon de lunatisme. Je suis Nick. Et c'est là le plus important. See you soon.

Il n'eut pas le temps d'écrire plus. Une voix forte et féminine l'appela et il referma son carnet avant de le glisser dans une de ses valises. Il réunit encore quelques bagages, prit le temps de ranger son instrument dans son étui. Il vérifia pour une énième fois qu'il n'avait rien oublié mais non, tout était là. Il jeta un regard mélancolique à son univers, comme si il devait partir à jamais, prit ses valises et marcha d'une pas lent vers l'extérieur de la maison. Il déposa ce qui l'encombrait devant la porte et se rendit avec entrain vers le box de son cheval. Son ami. Son confident. L'étalon hennit à l'arrivée du jeune homme, qui ne put retenir une larme. Ils n'allaient pas se voir pendant longtemps. De sa main fine, Nick caressa la tête douce et fière de Rockie, qui souffla doucement. Il murmura quelques paroles avant de donner une tape amicale contre l'encolure de l'équidé et s'en retourna. Très bientôt, un taxi qui l'emmènerait à l'aéroport arriva et il reçut quatre étreintes de la part de chaque membre de sa famille et monta dans le véhicule, qui l'emmenait vers un bout de sa vie.

hey dude! finish! - joueuse : victoire, 12 ans - ft nick jonas.
CODE : Ok by Who

Bienvenue! Les codes sont OK. Tu seras dans le dortoir F.

Toi Je t'aime emotion

Jonas Brohers Addict Razz

Invité

Moi aussi je t'aime *sbaff*

Bienvenue

Invité

and i ♥ hanna beth.

i ♥ U too

Invité

Aussi court ? *.*

*essaye de cacher sa présentation au fin fond de TH* :DD

Il faut quand même pas trop flooder, sinon je vais me faire taper xD
Tout est bon, tu peux jouer, je vais créer ta fiche & ton compte en banque! Bon jeu parmis nous, n'oublie pas d'aller poster ton entraînement & choisir ton cheval une fois noté.

Invité

Merci beaucoup de cette réponse rapide et navrée pour le flood. ¨:¨¨

C'est plutôt moi qui ait floodé, désolée emotion

Vous pensez, je flood aussi, tiens xD ^^

» Hop, au pansage ![finish]
» en rentrant du pansage [ finish ]