Peur bleue...

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Il était presque une heure du matin, et Isaak était ici. Oui, ici, entouré de tombe et autre article de la morts. Le jeune homme avait voulu prendre un raccourci pour rentrer au plus vite au Domaine de Training-Help, et il avait donc emprunter le cimetière.
Il avait tous prévu : une veste en jeans pour se protéger de la fraîcheur, une lampe de poche, un couteau au cas où, son portable, l'itinéraire à prendre pour arriver au plus vite à la fin du cimetière...

Mais voilà, Isaak n'avait pas prévu qu'un bruit, derrière lui, le paralyserait de peur. En effet, un léger craquement vint effleurer son oreille, réveillant ainsi de nombreux cauchemard enfantins. Etais-ce un fantôme? Un esprit? Après plusieurs hypothèses de l'ordre du paranormal, Isaak commença à penser réaliste. Peut-être était-ce quelqu'un qui lui voulait du mal... Isaak serra dans sa poche son couteau.

Il ne se retournait toujours pas, tellement effrayer par ce bruit. Enfin, des explications rationnelles vinrent enfin effleurer son esprit. C'était sûrement un chat, ou un chiens, ou encore un rat.
Isaak regretta de ne pas avoir emmener Brownies, son chaton. Son animal le rassurait considérablement dans des situations comme celle-ci Enfin, il n'était pas et il fallait faire sans...

Alors, Isaak se retourna, lentement, très lentement... Il dirigea son regard vers l'endroit d'où le bruit était venu, et vit, à quelques tombes de lui une ombre imposante, et pas très rassurante en cette nuit sans lune...
Isaak serra son couteau encore plus fort, près à le sortir...

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( Trop bon ! )

En faite, cette silhouette était tout autant apeurée que le jeune homme au couteau. Si elle était venue ici, c’était qu’elle se baladait et était tombé sur le cimetière par pur hasard. Et, ayant la très grosse flemme de faire le tour de ce même cimetière, il avait décidé de couper à travers. Et après avoir passé un portail plutôt inquiétant en fer forgé noir, il s’était retrouvé au milieu d’une multitude de tombes, la plupart en marbre et certaines sombre, et quasiment toutes jetaient des ombres plutôt inquiétantes. Non pas qu’Aaron soit un trouillard. Enfin, pas vraiment. Enfin non, ce n’en était pas un. Mais avec tous les films d’horreur dans lesquelles ses amis l’avaient traînés alors qu’il détestait cela, il ne pouvait que se monter la tête. Et bien que pendant tout le long, il s’était efforcé de penser à une petite fleure il se trouvait maintenant entouré de tombes dans lesquelles avait était enterré des victimes de la peste à en croire les inscriptions. Et le jeune homme n’avait pu s’empêcher de lire les noms jusqu’à ce qu’un bruit le fasse frissonner. Non pas qu’il n’y ait pas de bruit dans ce cimetière mais lui, c’était quelque chose de vivant qui l’avait produit. Vivant ou tout du moins, mort vivant.

Le jeune homme se baissa et empoigna une branche, arme bien dérisoire contre un mort vivant j’en convient mais bref, il n’avait strictement rien d’autre sous la main. Quelques secondes passèrent, interminables jusqu’à un moment où Aaron en eut plus que marre. Les morts vivants mon petit, ça n’existe pas. Se répétant cette phrase dans la tête, il avança d’un pas en direction de la silhouette et doucement, il se mit à parler, se pensant complètement idiot. Le voilà en train de discuter avec un trépassé !

- Euh … Bonjour ? Y’a quelqu’un ?

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Un frisson parcouru Isaak quand il entendit la voix lui parler. Il avait trop souvent entendu, dans des salles de cinéma obscure où des gens hurlait toutes les dix secondes, cette voix. Une voix calme, mais pourtant secoué de quelques tremblements. Une voix lente et grave...

Dans tous les films d'horreurs, au moment où le tueur massacrait sa victime, il disait ça juste avant...
Isaak essaya de regarder l'inconnu. Ces yeux s'étaient peu à peu habitués à l'obscurité et il pouvait apercevoir, dans une de ces mains, un objet de taille moyenne qu'il tenait a bout de main.
Isaak pensa tous de suite à une tronçonneuse... Un souffle de panique l'envahit aussitôt

C'était idiot de la part d'Isaak ne paniquer ainsi, mais dans ce genre de situation, notre esprit ne fonctionne pas normalement, n'a pas la même capacité d'analyse, et ce mets à imaginer des tas de choses effrayantes, bien qu'improbable.

Enfin, Isaak, en prise à la panique, sortit immédiatement son couteau. Il le tenait tellement fort qu'il en avait mal aux jointures. Isaak ne répondit pas à l'homme à la tronçonneuse, mais il regarda tous autour de lui, sans pour autant lâcher du regard l'inconnu, les différentes options qui s'offraient à lui...

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- Hou, hou, y’a quelqu’un ?

La voix d’Aaron retentit à nouveau, plus forte cette fois-ci. Bon certes il n’avait jamais fait d’autodéfense ou tout ses chose type judo, karaté, etc … Mais il était plutôt habile avec un bâton. Enfin, là, le fait que l’autre ne réponde pas lui mettait vraiment les chocottes. C’aurait était un humain, il aurait répondu normalement. Le jeune homme n’avança pas, il cherchait quelque chose pour allumer de la lumière. Mais bon dieu, pourquoi ne fumait il pas ? Il aurait au moins eut du feu sur lui. Mais non, Aaron détestait ça. Mais rien que là, il se promit de toujours avoir un briquet sur lui si jamais il s’en sortait vivant. Si jamais il s’en sortait vivant ? Quel drôle d’idée ! Bien sûr qu’il allait s’en sortir. Agrippant fermement son bâton, il se campa fermement sur ses jambes, l’idée d’attendre l’insupporta mais que pouvait il faire d’autre ?

Le jeune homme sentit doucement quelques souvenirs épars revenir à la surface de son esprit. Ils avaient tous quelque chose ne commun, c’était des extrais des films d’horreur qu’il avait vu. Ah non, il n’allait pas céder à la panique quand même. Son esprit rationnel analysa la situation. Si c’était un humain en face de lui, il ne perdait rien à rappeler. Mais si ce n’était pas un humain qu’allez il se passer. Non, il ne pouvait qu’être humain, les autres trucs, quelqu’ils soient ça n’existe pas. Pourtant, un doute horrible commençait à s’incruster en lui.

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Isaak entendit le ridicule "Hou hou, y'a quelqu'un". Il avait analysé toutes les options possibles, et la plus raisonnable était de sortir du cimetière. Oui mais comment? sortir par là où il était entrer et tourner ainsi le dos à la tronçonneuse? Jamais! Isaak avait songé à partir en marche arrière, mais l'obscurité l'empêcherait d'anticiper les obstacles se trouvant derrière, et il risquait de trébucher.

Le mieux était de passer par la sortie. Mais l'inconnu se trouvait juste devant. Isaak resta plusieurs secondes immobiles, retenant son souffle à réfléchir...

- Si j'ai le temps de compter jusqu'à 18 sans que le vent souffle, alors l'homme qui est en face de moi de me veux pas de mal...

Si le vent souffle avant que je n'ai compter jusqu'à 18, alors je fonce sur lui et je me dépêche de partir par la sortie... -

Son raisonnement était complètement idiot, mais dés qu'il ne savait plus quoi faire, c'était ce qu'il faisait. Se dire si... alors je... Sinon, je...
Isaak n'avait jamais eu la certitude que ça marchait, car certaines fois, la sentence avait agi dans son intérêt, d'autres fois, c'était tout le contraire...
Isaak commença à compter.

- 1, 2, 3, 4, 5 ...-

Le vent n'avait toujours pas soufflé. Isaak chuchotait, mais il était persuadé que l'inconnu entendait tous ce qu'il disait...

- ... 8, 9, 10, 11... -

Soudain, une bourrasque de vent vinrent secoué les cheveux déjà en bataille d'Isaak...

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( Désolé c'tes un peu court ... )

A force d’attendre, en plus d’être mort de trouille, le jeune homme était glacé jusqu’aux os et grelottait comme pas deux. Il savait bien qu’il aurait plutôt du prendre un manteau mais au dernier moment, il avait renoncé. Ce n’était pas si long après tout, il serait bientôt rentré. Mais voilà qu’il était coincé là, dans un cimetière, de nuit, devant une silhouette qui ne lui inspirait vraiment pas confiance et surtout, il y avait ce silence, seulement interrompu parfois par une bourrasque de vent. Pourtant, il entendit comme une lituanie, quelque chose de récurent qu’il pensait avoir déjà entendue. Il mit pas mal de temps avant de comprendre que le bruit venait de la silhouette. Mince, il était forcément face à un humain.

Car celui-ci parlait. Même s’il n’arrivait pas à très bien entendre avec car il devait sûrement chuchotait ou murmurer, le jeune homme blond ne s’attarda pas plus longtemps, il recula de deux pas lorsqu’une énorme bourrasque de vent le décoiffa. Surprit, le jeune homme blond perdit l’équilibre. Tombant en arrière, Aaron se retint de crier, se mordant la lèvre jusqu’au sang. Pourtant, quand il se reçut, son poignet émit un drôle de craquement qui dû s’entendre à des lieux à la ronde qui lui tira un petit cri. Il ne devait pas s’être fait bien mal, juste se tordre un peu le poignet mais tant à cause du stress accumulée au cours de ces dernières minutes qu’avec la surprise de tomber, le jeune homme sentait ses nerfs le lâcher. Il trembla un coup mais ne lâcha pas son bâton. Durant sa chute, il l’avait serré à s’en blanchir les articulations de ses doigts qui lui faisaient d’ailleurs mal maintenant à force d’avoir été crispées sur le manche du bâton en bois rugueux et noueux.

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[ Pas long? On ne doit pas avoir la même notion de longueur...]

Isaak s'apprêtait à bondir sur l'inconnu, comme un chat bondirait sur sa victime, mais à sa grande surprise te à son énorme soulagement, il n'eût pas à le faire.

En effet, l'homme venait de trébucher tout seule. Isaak, dans son élan de paranoïaque, pensa même qu'il avait fait exprès de tomber pour l'inciter à venir vers lui.

Mais il y avait eu un contretemps. Isaak le devina au craquement qu'il entendit, suivit du petit cri. Oui, L'homme avait du se faire assez mal.

Isaak avança rapidement vers l'inconnu et remarqua que l'arme qu'il avait était en réalité un bâton, et non une tronçonneuse, comme il l'avait imaginé.
Mais dans l'esprit d'Isaak, si l'homme avait un bâton, c'était qu'il voulait forcément l'attaquer.

L'homme à terre de se relevait toujours pas. Isaak ne rata pas cette occasion et bondit sur l'inconnue.

La lame de son couteau ~~bout rond~~ sur sa gorge, il prononça d'une voix qu'il se voulait méchante mais qui pourtant, avaient quelques tremblements. :

- T'es qui? -

Bien sûr, Isaak savait que jamais il ne pourrait égorger l'inconnue, même si celui-ci voulait le tuer. Isaak considérait simplement que ce qu'il faisait maintenant était de la défense. De la simple défense...

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( Pas par rapport à toi … )

Houla. Le jeune homme ne dit rien mais il ouvrit de grands yeux quand l’autre fou lui sauta dessus. Mais il dû avouer qu’il était presque content qu’il l’ait fait. Au moins, cela prouvait que ce n’était qu’un humain et pas autre chose comme il se l’était imaginé. Quand la lame du couteau se posa sur sa gorge, le jeune homme planta ses yeux dans ceux du jeune homme qui venait de lui sauter dessus. Il lâcha le bâton et dit d’une voix ferme et énergique quand l’autre eut fini de poser sa question.

- Je m’appelle Aaron Van Berg. Je suis Professeur à Training Helps. Et toi ?

Le jeune homme avait parlé doucement, d’une voix sans agressivité, il expliquait juste qui il était et le faîtes de tutoyer l’autre était venue naturellement. Il s’était aperçut que l’autre avait dû avoir aussi peur que lui.

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[ Nan mais ça compte pas je fait plein d'espace ]

Quand Isaak entendit le mot professeur, puis Training-Help, il écarquilla les yeux. Nan, il n'avait quand même pas pu faire ça? Il n'avait quand même pas agresser un professeur de Training-Help?

Isaak reprit ses esprit, et doucement, enleva le couteau puis le rangea dans sa poche.

- Désoler... -

Dit-il en tendant la main pour aider Aaron à se relever. Isaak n'en revenait pas. Il était encore tout déboussoler.
Lui, un garçon d'ordinaire calme et posé avait menacé un professeur
Isaak hésita longtemps avant de ce décider à dire qui il était. Isaak ne savait pas si Aaron voyait son visage dans l'obscurité et donc si il pourrait le reconnaître à Training-Help.
Isaak préféra ne pas répondre à sa question, du moins, pas pour le moment...

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( Oui mais quand même … )

Le jeune homme pu voir pendant un instant ou cru voir une drôle d’expression passer sur le visage de l’autre jeune homme. S’aidant avec gratitude de la main que le jeune homme lui tendait il se releva, massant son poignet qu’il avait fait craquer. Surtout penser à y mettre de la crème sitôt rentré. Cela lui permettrait de monter demain. Il vit l’expression contrit ou tout du moins désoler du jeune homme. Pour lui montre que ce n’était rien, il posa sa main valide sur son épaule et lui décocha un petit sourire avant de répondre d’une voix douce et ferme.

- Ne t’inquiète pas. A vrai dire, si le vent ne m’avait pas surpris et fait tomber, j’aurais fait la même chose que toi. Et je n’ai pas honte de le dire, je pensais que tu étais un mort-vivant et je n’aurais pas tapé doucement. Sans me vanter, tu aurais peut-être pris un très méchant coup. Mais bon, c’est pas grave n’en parlons plus et sortons d’ici veux tu ? Cet endroit me fut la chaire de poule.

Le jeune homme avait bien vu que l’autre ne voulait pas vraiment décliner son identité mais il ne s’en formalisa pas. Il se contenta d’avancer vers la sortie. Un petit sourire crispé sur les lèvres.

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Isaak s'efforça de sourire aux paroles d'Aaron. Il était néanmoins soulager qu'il ne lui en voulait pas plus que ça.
Isaak ne se fit pas prier pour sortir de cet endroit lugubre. Il passa carrément devant le professeur, au risque de se faire passer pour un quelqu'un d'impoli. Isaak ne voulait pas passer une seconde supplémentaire ici! Il emprunta rapidement le chemin qui menait au portail noir. Isaak le franchit rapidement et se retrouva sur le trottoir.

La rue, à cette heure-ci, était déserte, et très sombre, malgré les lampadaires de faibles intensités. Aucune voiture de circulait, et un silence à faire froid dans le dos hantait la rue. Isaak se tourna, pour voir si Aaron suivait, derrière lui...

Invité

Marchant d’un pas rapide, cadencé et énergique, le jeune homme sortit de cet endroit morbide et lugubre à la suite du jeune homme dont il ne connaissait toujours pas l’identité m’enfin. Passant sous le portail noir, il ne pu réprimé un petit frisson à la pensée de ce qu’il venait de vivre, voyant le jeune homme s’arrêter puis se retourner, il lui fit un petit sourire mal assuré et s’arrêta lui aussi à ses côtés. Malgré le silence et le peu de lumière, le trottoir était bien plus accueillant que le cimetière. Aaron se promit intérieurement de ne plus jamais y mettre les pieds puis il se retourna vers le jeune homme et dit d’une voix douce et ferme qui résonna étrangement dans la rue, lui conférant un aspect on ne peut plus lugubre.

- Par rapport à là-bas, c’est plutôt pas mal mais là … C’est pas joyeux joyeux non plus.

Ce n’était qu’une réflexion mais le jeune homme frissonna à nouveau. Non, réflexion faîtes, c’était vraiment horrible de partout aujourd’hui …

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Voyant qu'Aaron le suivait, Isaak continua d'avancer, mais celui-ci ce mit à parler. Il s'arrêta et l'écouta.
Hum.. Très bien, il s'essayait à l'humour maintenant XD
Enfin, Isaak regarda Aaron, et malgré sa culpabilité naissante, il réussit quand même à parler...

- Heu... Oui, c'est vrai... Allons dans un endroit plus... joyeux...-

Sa voix était hésitante, mais pourtant, on sentait une détermination évidente. Oui, lui non plus ne tenait pas à rester ici.

Isaak savait que si allait autre part, il faudrait qu'il décline son identitée. Enfin, après tout, il faudra bien qu'il le fasse un jour où l'autre...

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Bien que les paroles du jeune homme lui fassent une drôle d’impression, il ne releva pas et se contenta de garder un visage fermer. Dire qu’ils auraient pu se battre. Le jeune soupira d’exaspération et secoua la tête, comment se monter la tête pour rien ? Aller dans un cimetière à la nuit tombée et trouvé quelque chose qui fasse un peu de bruit. Avec ça, vous êtes sûr d’avoir de ses réflexes. Comme attraper un bâton et frapper avec. Le jeune homme grimaça en revoyant une scène d’un des nombreux films où il avait était traîné. La scène ou « l’héro » qui était en faite un gros bourrin écrasait le crâne d’un mec avec un bâton. Le jeune homme posa son regard sur l’autre à ses côtés et grimaça d’avantage en s’imaginant à la place du héro et avec la tête du jeune homme à la place de celle du mec. Mais après tout, peut-être que s’aurait été l’autre qui aurait gagné avec son couteau. On ne sait jamais et il préférait de loin ne jamais savoir. Oui, comment se monter la tête … Soupirant à nouveau et se passant une main rapide dans ses cheveux, les remettant en bataille, il se tourna un peu plus vers le jeune homme et lui demanda :

- Une idée ?

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