Karine S Invité
| Sujet: le cheval de ma vie Ven 3 Aoû - 20:47 | |
| Karine avait mit un pantalon d'équitation simple beige, ses affaires de pansage a la main, elle s'avanca dans l'allée, cherchant le box du cheval de sa vie . elle trouva ce fameux box et lanca un:
- Coucou mou'namouw !
Frederico était en train de manger, il leva sa tete et hennit, piaffant, dés qu'elle arriva prés de lui, il se retourna vivement, et repris son repas, *tssk, quel goinfre !* Karine fronca les sourcils :
- dis donc, t'as pas fini ton cinéma !?
elle soupira. tandis que le cheval continuait de manger son foin et ses granulés, elle ouvrit le box ettapota la croupe de son cheval, et vit que l'abreuvoir de celui-ci était vite, pas une goutte, elle le remplit donc, d'eau tiède, et le cheval, entendant le bruit de l'eau couler, fit un joli demi-tour sur place et bu quelques gorgées, mais Karine n'avait pas eu le temps de mettre un peu de paille dans, l'eau pour ne pas qu'il boive trop vite, elle mit quelques brin, et laissa l'équidé terminer son breuvage. La jeune fille s'assied sur la mangeoire de Nounours, et attendit qu'il finissse de boire, elle regarda a l'intérieur de la mangeoire...VIDE ! Frederico finit de boire, maisil n'avait plus rien a manger, il se tourna alors vers Karine et posa sa tete sur son épaule, Karine le caressa, mais le cheval, pour jouer, lui mit un grand coup de tete dans le dos :
- Eh, Oh ! Calme !dit'elle, puis ajouta par la suite, On Joue doucement !
Filou, étonné, fit un pas en arrière, mais revint vite sur ses pas, Karine alla chercher une pomme , coupée en lamelles, et lui offrit. Fred' se jeta dessus et n'en fit que deux bouchées, Karine ferma la porte, et partit chercher son licol marron, et l'attacha a l'anneau du box, Frederico se laissa gentiment faire, et Karine put commencer le pansage, elle passa vigoureusement l'étrille, et le bouchon , quand a la brosse douce, bien doucement, quand vint l'étape du cure-pied, Frederico refusait de donner le pied, Karine passait pourtant bien sa main le long du membre, et accrochait bien le boulet, mais, impossible de le faire lever une jambe, la jeune fille s'appuya contre l'épaule de son cheval, faisait des appels de langues, l'encourageait avec des "donne!!" :
- Frederico! sa suffit allez donne !! alleeeeeeeez !!
Frederico leva le pied a un centimètre du sol, le reposa, toujours aussi capricieux. Karine lui mit une tape sur l'encolure suivie d'un " Ho ! " Frederico le souleva a la hauteur de Karine, qui le cura tranquillement, elle enlevan toutes les saletés, sauf sur la fourchette bien sur. Karine cura tranquillement les autres sabots, tout en vérifiant l'état des membres, la blessure de la veille ayant bien guérie, la jeune fille décida de mettre Frederico au pré, elle lui mit ses guetres, et l'emmena vers le prés en main, au pas.
PRE
Frederico en licol ( comme b'hab ) Karine arriva a coté du box, son cheval frémit des naseaux, et recul quand il vit l'entrée de son box, Karine passa en première a l'intérieur du box en claquant la langue, Frederico baissa les oreilles, ne voulant pas rentrer. La jeune fille s'assit au fond du box, sans regarder Frederico, elle attendit que celui ci rentre, au bout de 5 minutes, l'équidé fit un pas dans le box, puis 2, et se souffla sur l'es épaules de Karine qui se releva aussitot et lui flatta l'encolure, et lui parla de tout et de rien, elle l'attacha a l'anneau du box, et lui enleva ses protections, elle eut envie de le rebrosser un peu, car, vu l'état dans le quel il était question poussière et boue, elle inspecta ensuite les crins, et vit qu'ils étaient, pleins de terre séchée, donc, elle le brosserait pas un peu, mais beaucoup ! Frederico s'impatientait, tapait du pieds, et remuait la tete dans tout les sens : - Calme toi Frederico ! Elle commenca, exceptionellment par curer les pieds, qui étaiens pleins de cailloux, Karine passa sa main le long du membre de Frederico, sale lui aussi, elle prit le boulet, Fredericorechigna a donner le pied, et gratta le sol avec, la tete tournée vers sa cavalière, un regard moqueur. Karine lui rendit et saisit fermemant le sabot de son cheval, et lui cura en enlevant toutes les saletées et les gros cailloux . µElle fit de meme avec les autres sabots, et prit son étrille , Frederico piaffa et renacla tandis que Karine frottait vigoureusement l'étrille sur la boue séchée et la poussière. Elle passa ensuite au bouchon, avec lequel, elle brossa fort les membres et les parties osseuses et tendoneuses. Quand vint le moment du peigne, Frederico, ne pouvait pas s'en approcher, il frémissait des naseau et plaquait les oreilles a chaque fois que le minable peigne en plastique le touchait, au bout d'un moment, il fit un gros écart , .. de peur:rolling2: , quel comédien; Karine réussit tout de meme a lui demeler la crinière et a la nettoyer, elle demela ensuite la queue Frederico finit par s'habituer au peigne. Karine le caressa, et lui donna un sucre, lui embrassa la ganache, et lui dit des mots gentils, elle prit ses affaires : - Au revoir mon grand, a plus tard ! Fredericoresta planté, la tete par dessus le box, a regarder la cour. et a frémir des naseaux au moindre bruit. elle repartit avec ses affaires.
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